« La peur au ventre » « l’estomac noué »

« se faire de la bile » « j’ai du mal à digérer »

« Ça me prend aux tripes »

« ça me bouffe de l’intérieur »…

Toutes ces expressions et bien d’autres illustrent le lien qu’entretient notre ventre avec le cerveau.

Ces 2 organes sont liés physiologiquement par le nerf vague qui permet d’informer notre tête de tout ce qu’il se passe dans nos viscères…
Nos pensées, émotions, ressentis, sentiments, soucis passent par le ventre et lorsque ce dernier se manifeste, il tire la sonnette d’alarme.


Ce deuxième cerveau possède son propre système nerveux (le système nerveux entérique) et sécrète 95 % de la sérotonine, hormone impliquée dans la gestion des émotions permettant de réguler l’équilibre psychique, l’humeur, les
comportements alimentaires mais aussi le sommeil.


Si les deux cerveaux ne communiquent pas, des déséquilibres se créent et des symptômes apparaissent : douleurs intestinales, transit perturbé, ballonnements, reflux…
En effet, stress, angoisse, culpabilité et colère sont autant d’émotions influant sur notre santé intestinale.

Enfouies au fond du ventre, l’harmonie est perdue, et l’intestin étant le siège de notre immunité, c’est la porte ouverte à de nombreuses pathologies : eczéma, psoriasis, maladies chroniques, allergies et intolérances alimentaires.

Il est nécessaire d’aller au fond de soi, à la recherche de nous-même pour retrouver l’harmonie. Mais pour cela, il faut savoir écouter son corps, le comprendre et ne pas avoir peur d’une vraie transformation intérieure et extérieure.
On apprend ainsi à mieux se connaître et aussi à se respecter. Car lorsque l’on mange mal, on se manque de respect et on sous-estime sa vraie valeur.


Il est temps de vous connaître,

de vous respecter

et surtout de vous aimer.